Hausse des prix des logements dans les grandes villes

Mis à jour le 02.12.19
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Dans les grandes agglomérations françaises, les prix des logements ne cessent d’augmenter. Mais comme les loyers sont généralement élevés, nombreux sont ceux qui préfèrent d’endetter pour devenir propriétaire plutôt que de continuer à payer un loyer à fond perdu. Les taux des prêts bancaires restent attractifs et encouragent à acheter.

Un volume de transactions record

Dans les grandes villes, les prix de l’immobilier augmentent qu’il s’agisse des appartements anciens et neufs ou des maisons. L’année 2017 a été un bon cru immobilier et 2018 s’annonce comme un copier-coller de celle-ci. La hausse moyenne des prix est estimée à 2% et les acheteurs potentiels s’empressent de trouver l’appartement ou la maison de leur rêve. La reprise économique se pointe à l’horizon et tout le monde veut profiter des taux d’intérêts attractifs. Après plusieurs années difficiles, le marché de l’immobilier français se rattrape car les particuliers investissent massivement pour devenir propriétaire, générant une hausse des prix des logements dans la plupart des grandes villes.

Investir sur le marché immobilier d’une grande ville

Au cours des derniers mois, le marché immobilier de 80% des grandes villes de l’hexagone a enregistré une hausse notoire des prix  des logements. Acheter un appartement dans une ville comme Paris, Lyon, Bordeaux, Nice est un bon plan immobilier car les biens sont assurés de gagner en valeur. Plusieurs villes parmi lesquelles Paris et Bordeaux, souffrent d’un déséquilibre significatif entre l’offre et la demande, ce qui contribue à la hausse des prix des logements. Mais tous les quartiers des grandes villes n’obéissent pas forcément à cette règle et il suffit quelques fois de concentrer ses recherches vers des quartiers périurbains pour trouver un logement à un prix moins élevé qu’à proximité des centres-villes.

Marché immobilier 2018, de belles perspectives en vue

En 2018, l’offre en biens immobiliers dans la plupart des grandes villes de l’hexagone devrait être en baisse. Conséquence logique, les prix des logements risquent de continuer à grimper. Le marché reste conditionné par l’évolution des taux d’intérêt qui influe fortement sur le comportement des acheteurs potentiels. En ce qui concerne l’immobilier neuf, cette année les ventes pourraient être moins nombreuses qu’en 2017 en raison des changements intervenus au niveau des aides publiques : nouvelles mesures pour le PTZ et le dispositif Pinel. Globalement, en 2018 le marché immobilier devrait afficher des résultats positifs même si le volume des ventes risque d’être inférieur à celui de l’année dernière.

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