L’immobilier parisien séduit les riches étrangers

Le chiffre d’affaires du réseau immobilier de luxe Barnes a le vent en poupe dans la capitale car la plus belle ville du monde captive les grosses fortunes de la planète. En 2016, Paris arrivait en 5ème position des villes les plus séduisantes du monde, tout de suite après la capitale britannique, New York, Tokyo et Sydney. La demande en « pied-à-terre de luxe », de préférence dans les 400 m2,  avec vue sur la Tour Eiffel est soutenue. Pour les gros investisseurs étrangers la France est une valeur refuge car la stabilité du pays rassure et on peut afficher sa réussite en profitant de son argent. En plus, Paris est une ville d’art et d’histoire où l’immobilier de luxe n’est pas uniquement fait de verre et de béton mais également d’appartements en vieilles pierres, pleins de charme.

Dans la capitale française, les biens immobiliers de luxe se vendent souvent en 24 ou 48 heures. Quand on aime on ne compte pas et c’est une réalité à Paris. Les appartements de grand standing d’une valeur de 2 à 3 M d’euros s’échangent en un temps record. L’immobilier de luxe fait également « vivre » une foule de d’architectes et de designers qui tissent leurs activités autour cette fabuleuse industrie du luxe et du prestige.

Dans la capitale, les étrangers fortunés constituent la majeure partie de cette clientèle ultra riche de l’immobilier de luxe parisien mis à part quelques self-made men qui eux aussi, investissent dans les quartiers chics de la capitale. De plus en plus de chinois achètent des biens sur les Champs Elysées ou sur l’Ile Saint Louis. Les grosses fortunes issues de l’ex-Union soviétiques comptent également parmi ces nouveaux investisseurs. Dans la capitale beaucoup de ces super riches propriétaires parisiens n’habitent leur bien que trois semaines dans l’année. Le marché de l’immobilier de luxe se porte de mieux en mieux et la tendance est confirmée par tous les grands noms du secteur comme le réseau Barnes, Sotheby’s International Reality France… La pierre parisienne affiche une embellie exceptionnelle qui pourrait bien se confirmer même au-delà des élections présidentielles.