Location saisonnière par l’Agence Immobilière Laforêt Pont-l’Abbé

Mis à jour le 02.12.19
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Maison à vendre: une location saisonnière dans le Pays Bigouden ou à Pont-l’Abbé c’est un sujet souvent abordé par nos acheteurs à l’Agence Immobilière de Pont-l’Abbé.

A l’agence immobilière Laforêt de Pont-l’Abbé, du Guilvinec, de Plonéour ou de Penmarc’h, nombreux sont les acheteurs qui nous questionnent sur la future destination de la maison à vendre qu’ils souhaitent acquérir.

 

Posted by Agence Immobilière Laforêt Pont-l'Abbé  , le blog Immobilier Pont-l'Abbé et Pays Bigouden  /  facebook.com/laforetpontlabbe

Agences annexes : Agence Immobilière Laforêt Plonéour 29720,  Agence Immobilière Laforêt Le Guilvinec 29730, Agence Immobilière Laforêt Penmarch 29760.

 

 

 

Maison secondaire ou location saisonnière ?

 

A ce jour, le service location de nos agences Laforêt du Pays-Bigouden travaille sur la location de maisons et d’appartements à titre de résidence principale ainsi que la gestion locative de ces mêmes biens immobiliers.

 

Que répondre à ceux qui veulent se diriger vers l’achat d’une maison de vacances et en faire une location saisonnière ?

De nombreux articles de presse ont décrit les avantages (parfois exagérés) de la location d’une maison secondaire… mais les « conseilleurs » ne sont pas les « payeurs »….Et la Bretagne n’est pas la côte d’Azur.

 

Des dizaines de milliers de biens immobiliers sont mis en location saisonnière en France.

 Des propriétaires, appâtés par la rentabilité  de ce type de placement, oublient qu'il y a des règles à respecter.

 

Il est normal que le propriétaire d’une  maison mise à disposition temporairement  puisse financer une partie des charges engagées. Il y a forcément des contreparties.

Quelles sont les obligations qui vont avec ce type d'investissement, quelles protections juridiques et fiscales mettre en place?

 

 

Au niveau juridique :

  • Déclaration à la mairie ;
  • Vérifier la réglementation de copropriété ;
  • Autorisation de changement d'usage obligatoire lorsque le propriétaire souhaite louer une résidence secondaire.

 

 

Au niveau fiscal :

 

  • Dans de nombreuses communes, il existe une taxe de séjour. Le propriétaire d’une maison en location est le collecteur de cette taxe de séjour.

 

Lorsque la location est récurrente le propriétaire de la maison est considéré comme un commerçant et le revenu déclaré rentrera dans la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux.

  • Suivant les revenu tirés de la location, le propriétaire optera pour le Régime micro ou le Régime réel.

 

 

Autre thème, non encore finalisé par le gouvernement : les revenus issus de l’économie collaborative.

Reste à préciser, dans le cadre de notre article sur la location saisonnière, le sort réservé à la déclaration des revenus réalisés grâce aux plateformes collaboratives du type  Airbnb ou Drivy.

 

 

Lire l’article de Nathalie Cheysson-Kaplan du Monde .fr

 

« Les revenus procurés par une activité de service rendu à d’autres particuliers par le biais de plates-formes Internet sont imposables.

Ces revenus sont soumis à l’impôt sur le revenu dans la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) ou dans celle des bénéfices non commerciaux (BNC) lorsqu’ils sont occasionnels.

 

Dans les deux cas, tant qu’ils ne dépassent pas 32 900 euros par an, ils peuvent être imposés selon un régime simplifié : il suffit de reporter directement les sommes encaissées sur la déclaration de revenus, le fisc calculant alors le montant imposable après avoir appliqué un abattement forfaitaire (50 % pour les BIC et de 34 % pour les BNC). Au-delà de ces seuils, il faut souscrire à une déclaration professionnelle.

La règle est plus ou moins la même pour les loyers tirés de la location de sa résidence principale ou secondaire, sachant qu’il existe une exonération spécifique lorsque vous louez une ou plusieurs chambres dans votre résidence principale. Dans ce cas, le loyer est exonéré s’il ne dépasse pas 760 euros par an, petit déjeuner compris.

 

Au-delà de cette limite, les loyers perçus sont imposables dès le premier euro dans la catégorie des BIC et supportent en plus 15,5 % de prélèvements sociaux. »

 

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